Alabama 1963
  • Date de parution 07/10/2021
  • Nombre de pages 352
  • Poids de l’article 177 gr
  • ISBN-13 9782266314749
  • Editeur POCKET
  • Format 178 x 110 mm
  • Edition Livre de poche
Policier historique Thriller Romans noirs États-Unis Policier humoristique Poésie Réédition à venir

Alabama 1963

4,32 / 5 (6083 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

Birmingham, Alabama, 1963. Le corps sans vie d'une fillette noire est retrouvé. La police s'en préoccupe de loin. Mais voilà que d'autres petites filles noires disparaissent...Bud Larkin, détective privé bougon, alcoolique et raciste, accepte d'enquêter pour le père de la première victime.Adela Cobb, femme de ménage noire, jeune veuve et mère de famille, s'interroge : " Les petites filles, ça disparaît pas comme ça... "Deux êtres que tout oppose. A priori. " Attention, nuit blanche assurée ! " Le Parisien " Autant vous prévenir tout de suite : il vous sera impossible de fermer l'oeil à cause ou plutôt grâce à ce formidable premier roman. " Femme Actuelle Cet ouvrage a été sacré par 15 prix littéraires.

En stock

En stock

  • Date de parution 07/10/2021
  • Nombre de pages 352
  • Poids de l’article 177 gr
  • ISBN-13 9782266314749
  • Editeur POCKET
  • Format 178 x 110 mm
  • Edition Livre de poche

l’avis des lecteurs

Waouw c'est un coup de cœur pour moi. J'avais entendu que des éloges sur ce livre qui a remporté de nombreux prix. Mais j'avais attendu de "passer" l'effervescence pour avoir un avis objectif.

Americas a été le 1er livre que j'ai découvert de ces auteurs (2 hommes adorables que j'ai eu la chance de recontrer au salon du livre de Montaigu en avril dernier) et ce fut aussi un coup de cœur. J'attendais donc de découvrir avec impatience Alabama 1963...

J'ai tout de suite été embarqué dans cette Amérique et ses différences. Qq faits historiques sont aussi parsemés dans le roman et j'adore les références.

J'ai été attaché à chaque personnage avec chacun un trait de caractère attachant.

Dans ce livre, le lecteur rit, se questionne, est en colère, pleure...bref personne ne peut être de marbre face à cette histoire.

Et le dénouement a été qq peu une surprise avec bcp d'émotions.

Je laisse à regret Adéla ❣️

Merci Ludovic et Christian @manchette_niemec pour cette belle histoire. J'attends la prochaine avec impatience. A bientôt 💋

❤️ 5/5 Coup de cœur (mais je pense que vous l'aurez déjà compris 😉)

✔️En 1963, à Birmingham, Alabama, le corps d’une fillette noire est retrouvé sans vie.

La police, indifférente, ne mène qu’une enquête superficielle.

✔️Cependant, les disparitions de petites filles noires se multiplient. Bud Larkin, un détective privé bougon, alcoolique et raciste, accepte d’enquêter pour le père de la première victime.

✔️En parallèle, Adela Cobb, une femme de ménage noire, jeune veuve et mère de famille, se demande : « Les petites filles ne disparaissent pas comme ça... » et va mener des investigations discrètement.

✔️Deux personnages que tout oppose vont unir leurs forces pour connaître la vérité sur ces disparitions tragiques.

✔️Sous des airs de polar américain, « Alabama 1963 » est une plongée captivante dans les États-Unis des années 60, marqués par la ségrégation, le Ku Klux Klan et l’assassinat de Kennedy.

✔️Ce roman noir explore les thèmes du racisme et de la ségrégation à travers une enquête haletante sur les disparitions et meurtres de jeunes filles noires.

✔️Cela faisait longtemps que je voulais découvrir ce livre d’autant plus que j’avais rencontré les auteurs lors d’une rencontre à la librairie de ma ville.

✔️J’ai sauté sur l’occasion de l’écouter en format audio pour enfin le découvrir.

J’ai énormément apprécié cette écoute grâce à la voix de Marie Bouvier, une conteuse formidable et talentueuse que j’avais déjà appréciée dans d’autres livres audio.

Elle sait nous immerger dans l’histoire de manière palpitante, émouvante et instructive.

✔️Une écoute passionnante qui aborde de manière poignante un pan de l’histoire et le thème du racisme, toujours si important.

Vraiment bon livre

Enorme coup de coeur pour ce pseudo polar historique qui offre surtout une radioscopie très vivante d’une petite ville d’Alabama, Birmingham en 1963.

Le roman s’ouvre sur le cadavre d’une petite fille noire, violée et assassinée dans une clairière. Ses parents s’inquiètent de sa disparition depuis plusieurs jours, mais la police minimise, elle a juste fait une fugue, de toute manière la police blanche ne s’intéresse pas aux noirs, qu’ils se débrouillent. Les parents finissent par s’adresser à Bud Larkin, un ancien flic devenu détective privé, mais c’est un alcoolique, ses tarifs sont très bas. Adela, une femme noire de trente ans travaille comme femme de ménage pour des blanches, elle vient de se faire licencier injustement par une de ses patronnes et se fait engager par Bud un jour par semaine suite à une mauvaise plaisanterie. Il vit dans une porcherie et finit par se prendre de passion pour l’affaire des petites filles assassinées, il y en a déjà trois. Adela participe à son enquête, car il n’a pas accès au quartier noir.

Ils forment un duo savoureux, Bud est raciste comme presque tous les Blancs, toutefois il a l’esprit ouvert et remet en cause ses préjugés. La police s’en fiche complètement mais Bud est bien décidé à démasquer l’assassin, il est consciencieux et courageux, en quête de rédemption. Adela l’assiste dans l’enquête, avec l’aide Miss Gloria une de ses patronnes âgée et douée de talents paranormaux qui donnera de précieuses indications.

Il y a beaucoup d’humour, les dialogues entre Bud et Adela sont savoureux, ils deviendront amis. L’enquête est surtout un prétexte pour parler de cette petite ville en 1963. L’Amérique change, on assiste aux derniers jours de Kennedy et au choc de son assassinat, qui touche toute la population. Luther King fait un rêve, en Alabama, même si la ségrégation n’est plus légale depuis quelques années, le gouverneur refuse d’appliquer les nouvelles lois, les noirs voyagent toujours au fond des bus et la déségrégation des écoles primaires entraîne des manifestations monstres.

Les blancs sont racistes sauf exception, mais l’inverse est aussi valable. Les copines d’Adela n’acceptent pas qu’elle se montre avec Bud leurs remarques sur les Blancs ne sont pas plus aimables que celles des Blancs sur les Noirs, nos détectives reçoivent tous deux des menaces.

L’écriture est très cinématographique et dynamique, avec de nombreux dialogues. Les deux personnages principaux sont très attachants, si au début on a peu de sympathie pour Bud, il saura se racheter et prouver qu’il vaut beaucoup mieux que sa réputation. L’histoire est passionnante, elle nous plonge dans l’Amérique profonde, loin des élites et de leur libéralisme. Les personnages sont profondément humains et les meilleurs d’entre eux annoncent déjà un autre avenir pour cette petite ville engluée dans ses préjugés. Il y a beaucoup d’émotion et d’humanité dans ce polar, je ne suis pas près d’oublier ce duo atypique. Une vraie pépite. La couverture m’a fait penser à l’inoubliable film Sur la route de Madison, le livre a certains points communs avec, dans le sens qu’il brise les conventions de l’époque.

Enorme coup de coeur pour ce pseudo polar historique qui offre surtout une radioscopie très vivante d’une petite ville d’Alabama, Birmingham en 1963.

Le roman s’ouvre sur le cadavre d’une petite fille noire, violée et assassinée dans une clairière. Ses parents s’inquiètent de sa disparition depuis plusieurs jours, mais la police minimise, elle a juste fait une fugue, de toute manière la police blanche ne s’intéresse pas aux noirs, qu’ils se débrouillent. Les parents finissent par s’adresser à Bud Larkin, un ancien flic devenu détective privé, mais c’est un alcoolique, ses tarifs sont très bas. Adela, une femme noire de trente ans travaille comme femme de ménage pour des blanches, elle vient de se faire licencier injustement par une de ses patronnes et se fait engager par Bud un jour par semaine suite à une mauvaise plaisanterie. Il vit dans une porcherie et finit par se prendre de passion pour l’affaire des petites filles assassinées, il y en a déjà trois. Adela participe à son enquête, car il n’a pas accès au quartier noir.

Ils forment un duo savoureux, Bud est raciste comme presque tous les Blancs, toutefois il a l’esprit ouvert et remet en cause ses préjugés. La police s’en fiche complètement mais Bud est bien décidé à démasquer l’assassin, il est consciencieux et courageux, en quête de rédemption. Adela l’assiste dans l’enquête, avec l’aide Miss Gloria une de ses patronnes âgée et douée de talents paranormaux qui donnera de précieuses indications.

Il y a beaucoup d’humour, les dialogues entre Bud et Adela sont savoureux, ils deviendront amis. L’enquête est surtout un prétexte pour parler de cette petite ville en 1963. L’Amérique change, on assiste aux derniers jours de Kennedy et au choc de son assassinat, qui touche toute la population. Luther King fait un rêve, en Alabama, même si la ségrégation n’est plus légale depuis quelques années, le gouverneur refuse d’appliquer les nouvelles lois, les noirs voyagent toujours au fond des bus et la déségrégation des écoles primaires entraîne des manifestations monstres.

Les blancs sont racistes sauf exception, mais l’inverse est aussi valable. Les copines d’Adela n’acceptent pas qu’elle se montre avec Bud leurs remarques sur les Blancs ne sont pas plus aimables que celles des Blancs sur les Noirs, nos détectives reçoivent tous deux des menaces.

L’écriture est très cinématographique et dynamique, avec de nombreux dialogues. Les deux personnages principaux sont très attachants, si au début on a peu de sympathie pour Bud, il saura se racheter et prouver qu’il vaut beaucoup mieux que sa réputation. L’histoire est passionnante, elle nous plonge dans l’Amérique profonde, loin des élites et de leur libéralisme. Les personnages sont profondément humains et les meilleurs d’entre eux annoncent déjà un autre avenir pour cette petite ville engluée dans ses préjugés. Il y a beaucoup d’émotion et d’humanité dans ce polar, je ne suis pas près d’oublier ce duo atypique. Une vraie pépite. La couverture m’a fait penser à l’inoubliable film Sur la route de Madison, le livre a certains points communs avec, dans le sens qu’il brise les conventions de l’époque.

Enorme coup de coeur pour ce pseudo polar historique qui offre surtout une radioscopie très vivante d’une petite ville d’Alabama, Birmingham en 1963.

Le roman s’ouvre sur le cadavre d’une petite fille noire, violée et assassinée dans une clairière. Ses parents s’inquiètent de sa disparition depuis plusieurs jours, mais la police minimise, elle a juste fait une fugue, de toute manière la police blanche ne s’intéresse pas aux noirs, qu’ils se débrouillent. Les parents finissent par s’adresser à Bud Larkin, un ancien flic devenu détective privé, mais c’est un alcoolique, ses tarifs sont très bas. Adela, une femme noire de trente ans travaille comme femme de ménage pour des blanches, elle vient de se faire licencier injustement par une de ses patronnes et se fait engager par Bud un jour par semaine suite à une mauvaise plaisanterie. Il vit dans une porcherie et finit par se prendre de passion pour l’affaire des petites filles assassinées, il y en a déjà trois. Adela participe à son enquête, car il n’a pas accès au quartier noir.

Ils forment un duo savoureux, Bud est raciste comme presque tous les Blancs, toutefois il a l’esprit ouvert et remet en cause ses préjugés. La police s’en fiche complètement mais Bud est bien décidé à démasquer l’assassin, il est consciencieux et courageux, en quête de rédemption. Adela l’assiste dans l’enquête, avec l’aide Miss Gloria une de ses patronnes âgée et douée de talents paranormaux qui donnera de précieuses indications.

Il y a beaucoup d’humour, les dialogues entre Bud et Adela sont savoureux, ils deviendront amis. L’enquête est surtout un prétexte pour parler de cette petite ville en 1963. L’Amérique change, on assiste aux derniers jours de Kennedy et au choc de son assassinat, qui touche toute la population. Luther King fait un rêve, en Alabama, même si la ségrégation n’est plus légale depuis quelques années, le gouverneur refuse d’appliquer les nouvelles lois, les noirs voyagent toujours au fond des bus et la déségrégation des écoles primaires entraîne des manifestations monstres.

Les blancs sont racistes sauf exception, mais l’inverse est aussi valable. Les copines d’Adela n’acceptent pas qu’elle se montre avec Bud leurs remarques sur les Blancs ne sont pas plus aimables que celles des Blancs sur les Noirs, nos détectives reçoivent tous deux des menaces.

L’écriture est très cinématographique et dynamique, avec de nombreux dialogues. Les deux personnages principaux sont très attachants, si au début on a peu de sympathie pour Bud, il saura se racheter et prouver qu’il vaut beaucoup mieux que sa réputation. L’histoire est passionnante, elle nous plonge dans l’Amérique profonde, loin des élites et de leur libéralisme. Les personnages sont profondément humains et les meilleurs d’entre eux annoncent déjà un autre avenir pour cette petite ville engluée dans ses préjugés. Il y a beaucoup d’émotion et d’humanité dans ce polar, je ne suis pas près d’oublier ce duo atypique. Une vraie pépite. La couverture m’a fait penser à l’inoubliable film Sur la route de Madison, le livre a certains points communs avec, dans le sens qu’il brise les conventions de l’époque.

Voir plus d'avis
AUTRES LIVRES DE Ludovic Manchette2
DOLPO RECOMMANDE4

Livraison soignée

Nos colis sont emballés avec soin pour des livres en excellent état

Conseil de libraires

et des sélections personnalisées pour les lecteurs du monde entier

1 millions de livres

romans, livres pour enfants, essais, BD, mangas, guides de voyages...

Paiement sécurisé

Les paiements sur notre site sont 100% sécurisés