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quelques nazis en moins
Ils ont préféré en finir - Le suicide des chefs nazis

Ils ont préféré en finir - Le suicide des chefs nazis

En 1945, quelque 20 000 Allemands se donnent la mort. Parmi eux, pas moins de 200 dignitaires nazis suivent la voie indiquée par Hitler et se suicident à leur tour. En détaillant le cas des nazis les plus célèbres (Rommel, Hitler, Goebbels, Goering, Himmler, Hess), Philippe Valode en explique les raisons et replace ce " phénomène " dans le contexte de la victoire alliée.Le 30 avril 1945, en se donnant la mort avec Eva Braun, Adolf Hitler déclenche une réaction en chaîne parmi l'élite nazie. Cyanure, pendaison, arme à feu... Il s'agit d'éviter la capture par les Soviétiques, d'échapper au châtiment des Alliés, de refuser la défaite et la destruction du Reich allemand. Cette voie suicidaire, à laquelle certains furent poussés comme Rommel, les plus proches collaborateurs du Führer vont la suivre : Goebbels ou Bormann immédiatement, les autres à des échéances plus ou moins lointaines – Rudolf Hess plus de quarante années après. Seuls deux hommes, les plus puissants du Reich, n'ont nulle envie de se sacrifier et ne se croient pas perdus. Le premier, Goering, espère négocier avec les Américains et devenir ministre des Affaires étrangères de la future Allemagne. Le second, Himmler, s'estime le mieux placé pour assurer la transition et traiter avec les Alliés par l'intermédiaire de la Suède. La condamnation à mort de Goering à Nuremberg et la capture de Himmler en Allemagne du Nord vont les contraindre à choisir une fin imprévue. En tout, au moins deux cents dignitaires nazis se sont supprimés, cherchant ainsi à fuir la responsabilité de crimes qu'ils s'obstinaient à nier. Mais aussi des milliers d'administrateurs territoriaux, de fonctionnaires, de médecins ou d'industriels compromis, ainsi que de nombreux gradés, sans oublier les gardiens de camps. Ce phénomène, encore peu étudié, est envisagé par Philippe Valode à la lumière de six cas exemplaires : ceux de Rommel, Hitler, Goebbels, Himmler, Hess et Goering.

Pour se souvenir
Pardon d'avoir survécu

Pardon d'avoir survécu

Au musée d'Auschwitz, dans le livre d'or, j'ai réalisé que j'écrivais “Pardon” et que je signais. Alors, j'ai fait deux pas. Et puis, je suis revenu. Je me suis dit : “Pardon de quoi ?” Et j'ai ajouté : “Pardon d'avoir survécu.” D'une très mauvaise écriture. Par la suite, j'ai appris que c'était le réflexe de beaucoup d'enfants." Des origines familiales polonaises à son départ pour le Berry pendant la guerre, de la déportation de son père et de sa soeur aînée à son adolescence sous l'Occupation, de son premier voyage à Auschwitz à sa rencontre avec Pierre Mendès France, Georges Kiejman, l'illustre avocat, se raconte avec pudeur et sincérité. Un témoignage exceptionnel réalisé en 2006, à l'initiative de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah et de l'INA. Un texte inédit, relu et corrigé par l'auteur.

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