Nymphéas noirs
  • Date de parution 15/06/2017
  • Nombre de pages 448
  • Poids de l’article 537 gr
  • ISBN-13 9782258145283
  • Editeur PRESSES CITE
  • Format 226 x 142 mm
  • Edition Grand format
Thriller Romans policiers Ouvrage de référence de l'auteur France

Nymphéas noirs

4.20 / 5 (9810 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

Trois femmes vivaient dans un village. La première était méchante, la deuxième était menteuse, la troisième était égoïste. Elles possédaient pourtant un point commun, un secret en quelque sorte : toutes les trois rêvaient de fuir...Tout n'est qu'illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, village cher à Claude Monet, sont bien réels. Au cœur de l'intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit et sait tout. Et puis, bien sûr, une passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées, dont les fameux Nymphéas noirs. Perdues ou volées, telles les illusions quand passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps. Un suspense brillant, à la résolution insoupçonnable, dans lequel chaque personnage est une énigme. 2017, prix Segalen des lycées français de la zone Asie Pacifique 2011, prix des lecteurs du festival Polar de Cognac 2011, prix du polar méditerranéen (festival de Villeneuve-lez-Avignon) 2011, prix Michel Lebrun de la 25e heure du Mans 2011, Grand prix Gustave Flaubert de la Société des écrivains normands 2011, prix des lecteurs du festival Sang d'Encre de la ville de Vienne (" gouttes de Sang d'encre ") 2011, Finaliste du prix mystère de la critique (3e), du prix du polar francophone de Montigny-lès-Cormeilles (2ème), du prix marseillais du polar, du prix Polar de Cognac, du prix du roman populaire d'Elven, du prix Plume-Libre, du prix plume de Cristal du festival policier de Liège.

En stock

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  • Date de parution 15/06/2017
  • Nombre de pages 448
  • Poids de l’article 537 gr
  • ISBN-13 9782258145283
  • Editeur PRESSES CITE
  • Format 226 x 142 mm
  • Edition Grand format

l’avis des lecteurs

Un meurtre a lieu dans le village de Giverny, une vieille femme sans nom connaît l’assassin, mais elle ne parle pas. Elle se dépêche de rentrer avec son chien dans son moulin. La victime est Jérôme Morval un ophtalmologue connu qui collectionne les maîtresses et les tableaux, son rêve étant d’acquérir un Nymphéa. Dans le village se croisent trois femmes, d’abord la petite Fanette, onze ans, très douée pour la peinture qui rêve de remporter le concours de la Fondation Robinson et dont tous les garçons de la classe sont amoureux, Stéphanie, trente six ans, la belle institutrice si séduisante et la vielle femme aigrie qui rouspète sans cesse contre les touristes qui envahissent le village. Deux inspecteurs sont chargés de l’enquête, ils pataugent, le chef tombe amoureux de la belle Stéphanie et soupçonne son mari, d’après son intime conviction. Son collègue propose d’autres pistes plus rationnelles tournant autour des maîtresses du médecin ou des tableaux de Monet, mais l’enquête s’enlise.

J’ai toujours entendu dire que ce roman est LE chef d’oeuvre de Bussi, celui qu’il faut absolument avoir lu. Je n’avais pas deviné le twist final qui donne son sens à toute l’histoire, mais comme j’en ai lu d’autres de lui, je m’attendais à une conclusion étonnante et j’ai été attentive aux détails tout au long de mon écoute. Ainsi j’ai vu de nombreuses incohérences : l’action se passe sur treize jours en 2011 d’après le prologue, mais le comportement des policiers sur la scène de crime est incompréhensible à l’époque de la police scientifique, ils agissent comme les Pieds nickelés ou le Club des Cinq, on est bien loin des Experts ! J’ai relevé plusieurs autres incohérences dont je vous épargne la liste mais qui m’ont donné à penser qu’il s’agissait d’un polar à la construction boiteuse.

Si le côté enquête ne m’a pas convaincue, j’ai aimé l’ambiance du village de Giverny et l’intrigue autour de Monet et de son chef d’oeuvre. Le mystère qui plane autour du tableau qui donne son titre au roman est vraiment passionnant. Comme dans un tableau impressionniste, l’histoire se révèle par touches. Les personnages sont plein d’humanité, surtout Fanette et Stéphanie.

Le village est magnifique, mais surtout pour les touristes, nos trois héroïnes se sentent prisonnières de ce lieu figé, où le paysage ne doit pas évoluer. Si la vieille dame se plaint des milliers de visiteurs qui défilent dans les rues, Fanette et Stéphanie rêvent de s’échapper de cet endroit hors du temps. Le roman est très documenté sur l’impressionnisme, la maison de Monet et ses Nymphéas, un thème décliné en d’infinies variations tout au long du texte. On se sent happé par ce lieu à la fois intemporel et figé dans un passé rêvé.

Même si ce livre ne m’a pas scotchée par son dénouement qui redonne de la cohérence à l’intrigue, j’ai beaucoup aimé l’ambiance et les beaux portraits de femmes plein de sensibilité. Fanette est un être solaire et profondément touchant, Stéphanie une romantique rêveuse, même la vieille dame est attachante à sa manière, sans oublier le chien Neptune qui joue un rôle important. L’aspect polar est vraiment le point faible du roman, il y a trop d’incohérences si on y prend garde.

Nymphéas noirs est le premier polar de Michel Bussi, celui qui lui a valu son succès. J’avais rencontré l’auteur à l’occasion des Quais du polar et j’avais décidé de le découvrir avec ce roman. Michel Bussi est un auteur qui n’est pas fait pour moi parce que contre toute attente, je n’ai pas aimé cette histoire.

A Giverny, village normand mis en lumière par Monet et sa série des Nymphéas, le cadavre d’un homme est retrouvé, gisant dans la rivière. Aussitôt on dépêche un inspecteur de police. La victime semble avoir un passé assez lourd et la tâche n’est pas simple. A travers le point de vue du policier mais aussi de trois femmes, toutes d’âge différent, on cherche à éclaircir ce meurtre…

Je n’ai d’abord pas aimé le style de l’auteur, trop simple pour moi. Je n’ai pas aimé sa manière de raconter, son style tout simplement. Ensuite, je me suis assez vite ennuyée au fil des pages. C’est plutôt morne, plat comme narration. L’alternance des points de vue n’y change rien. Et puis, j’ai eu la puce à l’oreille assez vite, étant attentive aux détails. Le twist final ne m’a donc pas du tout surprise.

J’ai aimé en revanche les références à la peinture, aux peintres et à Giverny. C’était très intéressant pour le coup et bien documenté.

Bref, c’est un flop pour moi. Je crois que cet auteur ne me correspond pas du tout.

Tout n’est qu’illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouilles les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, le village cher à Claude Monet, sont bien réels. Au cœur de l’intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit et sait tout. Et puis, bien sûr, une passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées, dont les fameux Nymphéas noirs. Perdues ou volées, telles les illusions quand passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps.


Un roman policier ? Oui bien sûr, il y a une intrigue, des meurtres, des enquêtes, mais le livre de Michel Bussi est avant tout un roman d’une construction absolument brillante qui distille les émotions avec finesse et vous fait passer par une palette de sentiments qui vous feront battre le cœur, sourire très souvent et picoter les yeux quelques fois (si, si, c’est vrai !) .

Le duo d’inspecteurs fonctionne à merveille mais malgré tout l’intrigue reste intacte jusqu’aux dernières pages du livre. Les personnages sont décrits avec beaucoup de détails et ont tous une belle densité. Je n’ai absolument pas envie de vous dévoiler ne serait-ce qu’un morceau de cette toile superbe dépeinte par l’auteur…je vous laisse le bonheur de le découvrir.

L’écriture de Michel Bussi est fluide, précise, poétique et non dénuée d’humour. Le roman tient du journal intime et c’est à un véritable plongeon dans l’univers des impressionnistes et plus spécifiquement celui de Claude Monet que l'auteur nous convie. Le village de Giverny y a d’ailleurs une place d’honneur …en fait, bien plus qu’une place, Giverny est un personnage à part entière de ce roman. Le récit prend quelque fois des allures de vendetta, tout ce petit monde se connait par cœur, et l’omerta qui plane sur les différents protagonistes et les évènements est lourde de tous les secrets et les non-dits des gens du village.

L’auteur réussi à brouiller les pistes et à rendre l’énigme de plus en plus opaque au fur et à mesure de la lecture, pour finalement nous mener à un dénouement absolument incroyable et terriblement bouleversant. Ce roman à raflé de nombreux prix dont ceux du Prix des lecteurs du festival du polar de Villeneuve lez Avignon et celui du festival du polar de Cognac (prix des lecteurs également), et c’est amplement mérité.

Je me suis plongée avec une véritable délectation dans ce récit et celui-ci m’a accroché de plus en plus fort au fur et à mesure que je progressai dans sa lecture. Une véritable réussite, un moment suspendu dans le temps qu’il faut savoir savourer, l’impression de m’être moi-même enfermée dans une sorte de huis-clos redoutablement efficace, jusqu’à devenir, le temps d’une lecture, un personnage de ce roman. Je ne vous conseille pas de le lire…je vous dis simplement qu’il est hors de question de passer à côté de ce bijou.


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