
La nuit introuvable
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l’avis des lecteurs
C’est l’histoire d’une mère et d’un fils qui se sont éloignés l’un de l’autre et qui vont renouer par la force des choses, puisque la maman est malade.
Le fils rappelé à son chevet, n’est guère enthousiasmé de reprendre contact avec sa mère. Il ira de surprise en surprise !
A commencer par la santé de sa maman qui est atteinte de la maladie d’Alzheimer et par des lettres qu’il va recevoir à chaque visite. Des lettres écrites par sa mère, avant que sa santé mentale se détériore.
Ses lettres vont lui révéler bien des choses ! Et c’est là, toute l’intrigue…
En lisant chapitre par chapitre, on attend avec impatience, de lire la prochaine lettre afin d’en savoir plus.
Dans ce roman, l’auteure aborde le thème de la maladie, de l'éloignement de la famille, de le mort, de la solitude mais aussi de l’amour.
L’amour d’un enfant ou l’amour d’une mère ou d’un père, avec ses erreurs ou ses faiblesses, mais aussi les bons souvenirs, où nous sommes nostalgiques de cette époque lorsque nous vivions chez nos parents, leurs yeux posés sur nous…Pour nous protéger, nous aimer tout simplement.
Parfois, l’amour est maladroit, ou rempli de pudeur, ou encore retenu dû à des traumatismes, des peurs ou tout simplement parce que l’on ne sait pas comment le montrer.
Parce que la communication est difficile, parce que l’on ne sait pas ou plus comment dire les choses simples….Qu’on a chacun sa vie…On s’éloigne bien malgré nous !
C’est tout cela que l’on peut lire dans ce livre…Une renaissance pour Nathan le fils, et une confession intime et émouvante de la part de Marthe, la mère.
Une écriture sensible et sincère. Un très joli moment de lecture.
Un roman touchant, car nous serons tous un jour, confrontés à des parents vieillissants où souvent l’heure est venue pour eux, de se confier, de raconter les événements qui les ont marqués.
Une auteure à suivre....
Huit lettres pour une vie
Une mère atteinte d’Alzheimer et un fils exilé en Slovénie sont au cœur du premier roman sensible et émouvant de Gabrielle Tuloup.
Quand Nathan Weiss, qui a choisi de s’exiler en Slovénie, est informé qu’il doit rentrer à Paris parce que sa mère le réclame, il est tout proche d’ignorer cette demande. Car il estime qu’is n’ont plus rien à se dire. Mais comme il effectue régulièrement des séjours dans la capitale, il accepte finalement l’invitation de cette voisine qu’il ne connaît pas. Cette dernière va lui apprendre la terrible nouvelle: sa mère Marthe est atteinte de la maladie d’Alzheimer et aura sans aucun doute de la peine à le reconnaître.
Mais elle lui révèle par la même occasion que Marthe lui a confié huit lettres écrites alors qu’elle était en possession de tous ses moyens, au moment où les médecins ont posé le diagnostic de cette maladie dégénérative incurable. Mais ces huit missives ne lui seront confiées qu’au compte-goutte, lors de chacun des voyages qu’il fera.
Si la colère est le premier sentiment de Nathan qui se sent floué et manipulé, la lecture de la première lettre va profondément le secouer : « Tout est organisé avec Jeanne. Je viens de t’écrire huit lettres. Elle ne doit te joindre que lorsque je ne serai plus capable de le faire. Nous n’avons pas réussi à nous aimer jusque là. Il y a toujours eu une sorte de philtre, tu as eu une mère enveloppée dans du papier cellophane. J’avais l’air d’une mère à travers, mais toujours à travers. »
En intégrant au fil du récit ces huit lettres, Gabrielle Tuloup a trouvé une technique narrative propre à retenir son lecteur, avide de connaître la suite épistolaire, intrigué par les secrets de famille annoncés.
« Il ne reste déjà qu’un bien maigre territoire de mon passé. Tout file. Ton père est mort et tu es parti loin. À moins que ce soit moi qui n’aie jamais pu être proche.
Je ne veux surtout pas emporter mon secret. Mes vices cachés le sont au pli d’une ride mais les caresses de Jacques ne me lisent plus. Ton père avait de ces mains qui savent quand la peau braille d’avoir eu mal quelque part. Le corps qu’on n’aime plus se tait doucement.
Je sais qu’il est temps d’oublier, de tout alléger, mais pas avant d’avoir rempli le registre. Aujourd’hui, mon fils, il me faut te décrire mes terres muettes, le bien qu’on m’a volé. Il me faut te confier ce que je n’ai pu dire à personne, pas même à ton père. »
Du coup, ce qui semblait désormais impossible au début de cet émouvant roman va se produire : les fils va se rapprocher de cette mère qui s’enfonce dans la nuit. En jouant sur ces deux temporalités, le moment où le slettres ont été écrites, les éléments de biogrpahie qui y sont relatés et la présence physique de cette femme à l’esprit vagabond, l’auteur ajoute de l’émotion, de la tension dramatique.
Nathan va vieux comprendre sa mère et ses choix et ce faisant, il va aussi se redécouvrir à la lumière des confessions de Marthe qui viennent effacer des années de non-dits.
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