
Inspectrice Elena Blanco Tome 1 La fiancée gitane
Résumé éditeur
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l’avis des lecteurs
J’ai une vraie passion pour le polar espagnol que je trouve presque toujours très réussi! Je me devais donc de découvrir la saga de Carmen Mola (pseudonyme des trois auteurs du livre!).
Dans ce polar, nous sommes à Madrid. Le corps d’une jeune fille vient d’être retrouvée. Il s’agit d’une jeune gitane qui était sur le point de se marier. Qui l’a tuée? Et pourquoi l’avoir tant fait souffrir? C’est l’équipe d’Elena Blanco qui mène l’enquête pour tenter de retrouver l’assassin.
Carmen Mola sait mener son récit avec rythme et brio. Il nous plonge rapidement au cœur de la brigade spéciale tenue d’une main de maître par Elena. C’est pour moi le point fort du roman. Les policiers qui font partie de cette équipe ont tous une personnalité fouillée et intéressante avec en premier lieu la cheffe, Elena dont on découvrira le passé au fil des pages.
Il faut aussi avoir le cœur bien accroché car l’auteur ne fait pas dans le détail. Le meurtre que les policiers doivent élucider est particulièrement sauvage et cruel. Et puis il y a la menace d’un copycat serial killer qui plane sur l’intrigue, semant le trouble et ménageant le suspens.
Enfin, j’ai particulièrement aimé retrouver l’ambiance madrilène. L’auteur nous plonge au cœur de cette ville tentaculaire sublime et parfois si sombre.
Ce premier tome est donc une belle découverte pour moi. J’ai autant aimé les personnages que l’intrigue. Un sans faute!
Le premier polar d’une auteur espagnole, ça s’essaye. Mais on ne peut pas réussir à tous les coups. Echec avec La fiancée gitane de Carmen Mola.
Le corps de Susana Macaya est retrouvé dans un parc du quartier de Carabanchel, à Madrid. Elle est morte de façon atroce. C’est l’équipe d’élite d’Elena Blanco qui hérite de l’enquête. Parce qu’il y a eu un antécédent, le meurtre de Lara, la grande sœur de Susana, sept ans auparavant, dans les mêmes circonstances. Lara elle aussi tuée à la veille de ses noces avec un gadjo, les sœurs sont gitanes.
Et pourtant l’assassin de Lara avait été arrêté, et il est en prison. Une horreur de plus dans la vie d’Elena qui, depuis des années, dans son temps libre recherche désespérément un être cher disparu, enlevé.
Raté, complètement raté pour moi.
Premier défaut, je trouve le roman assez mal écrit, très scolaire, toutes les actions, tous les sentiments des personnages nous sont expliqués, comme si l’auteur ne faisait pas confiance au lecteur pour comprendre leurs motivations. Donc c’est scolaire et lourdingue.
Ensuite on a droit à la surenchère dans l’horreur, comme si l’auteur s’était demandée : « voyons, qu’est-ce qu’on n’a pas encore inventé comme torture particulièrement barbare dans les polars ? ». Je trouve ça malsain, et surtout vain. En fait c’est superficiel, et putassier.
La seule question que me fait me poser un el roman est celle de la cohérence du catalogue d’actes noirs. Comment peut-on publier côte à côte Carlos Salem, Victor del Arbol, dernièrement le très bon polar argentin Le gardien de la Joconde, et ça, qui est vraiment du tout-venant horrifico-commercial ? Un mystère.
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