Échange : Loft londonien contre cottage bucolique
  • Date de parution 19/05/2022
  • Poids de l’article 278 gr
  • ISBN-13 9782755695205
  • Editeur HUGO POCHE
  • Format 178 x 110 mm
  • Edition Livre de poche
Romance

Échange : Loft londonien contre cottage bucolique

4.00 / 5 (217 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

ROMANCE ET HUMOUR ANGLAIS POUR UNE HISTOIRE DANS LA DROITE LIGNÉE DE JOJOMOYES.Leena Cotton est épuisée, c'est son corps qui le lui dit. Son burn-out explosif en plein milieu d'uneréunion capitale parle à sa place. Pour la peine, son employeur lui impose deux mois de congésqu'elle ira passer dans le cottage de sa grandmère, à la campagne. Elle aurait encore préférémourir de surmenage que d'ennuiEileen Cotton a pris une décision : puisque son époux l'a quittée du jour au lendemain, elle adésormais le droit de vivre pour elle-même. Et pourquoi pas vivre une relation passionnée,à 80 ans ? Mais dans son petit village du Yorkshire, les candidats au poste d'amant ne sont pas légionUn problème ? Une solution ! La grand-mère et la petite-fille n'ont qu'à échanger leurs vies. Eileen ira habiter dans la colocation de Leena à Londres, où les beaux messieurs pullulent,tandis que Leena a pour mission de se reposer à la campagne et de régler tous les problèmesqu'elle avait tenté jusqu'ici de mettre de côté. Avec quelques conseils pour apprivoiser la trépidante capitale d'un côté, et un ou deuxtrucs pour gérer les voisins intrusifs de l'autre, les aventurières devraient s'en sortir N'est-ce pas ?

livré en 5 jours

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  • Date de parution 19/05/2022
  • Poids de l’article 278 gr
  • ISBN-13 9782755695205
  • Editeur HUGO POCHE
  • Format 178 x 110 mm
  • Edition Livre de poche

l’avis des lecteurs

J’avais adoré À moi la nuit, toi le jour de l’autrice l’année précédente, qui avait fait beaucoup de bruit sur bookstagram anglophone (et que j’ai d’ailleurs très envie de relire). Je mourrais alors d’envie de découvrir le nouveau roman de Beth O’Leary et quelle bonne surprise lorsque j’ai appris qu’il allait être traduit chez Hugo Roman ! Je peux vous l’annoncer directement : j’ai adoré ! Vraiment, ce roman était un délice à lire et je n’ai pas été déçue une seule seconde par ma lecture.

Par où commencer ? Les personnages sont tous très attachants, que ce soit Eileen, cette grand-mère touchante et dévouée aux autres qui rêve d’aventures ou sa petite-fille Eileen, surnommée Leena qui se remet difficilement de la mort de sa sœur. Elles sont très différentes l’une de l’autre, mais on ne peut nier leurs points communs qui les lient et qui montrent sans problème leur attachement à l’autre : cette relation m’a, sans surprise, beaucoup émue. Voir ces deux personnages évoluer au fil du récit est plus que bouleversant, j’ai été très marquée par ces deux vies qui échangent, pendant deux mois, leur vie pour se retrouver, pour revivre.

Je n’en dis pas plus sur elles ou même sur les personnages secondaires pour vous laisser les découvrir, mais je peux vous assurer que je suis tombée sous le charme aussi bien des habitants du petit village d’Eileen que des amis et colocataires de Leena. Sans parler qu’ils apportent tous un petit quelque chose spécial à l’histoire de par leur caractère ou leur propre histoire.

La touche de romance, que ce soit du côté de Eileen ou Leena, ne m’a pas déplu et m’a tout autant touchée que le reste de l’histoire, les deux relations sont amenées avec douceur, avec… je n’ai pas les mots, mais c’était très lumineux, touchant (je me répète, je le sais, mais de nombreux aspects de ce roman m’ont vraiment réchauffé le cœur).

Ce roman donne l’impression d’un gros câlin, il m’a mis le sourire, m’a fait rire, m’a tirée quelques larmes également car il traite tout de même de sujets compliqués, par moment. Le récit est très fluide, prenant, plein de touches d’humour, de joie de vivre, de moments de tristesse aussi. Les décors ont également une place importante dans ce livre, que ce soient les rues ou l’appartement de Londres ou encore le village champêtre, j’ai véritablement eu l’impression de voyager entre la capitale et le Yorkshire tout au long de ma lecture et moi qui adorerais retourner en Angleterre, je peux vous assurer que ce roman m’a donné encore plus envie !

Pour finir, avec une plume alternant entre l’humour et des moment plus émouvants, le tout avec beaucoup de délicatesse, Beth O’Leary ne m’a encore une fois pas déçue. Je ne saurais dire ce que j’ai aimé le plus, quel personnage était mon préféré, la campagne ou la ville, mais une chose est sûre : ce roman est un bonbon, une bouffée d’air frais, une remise en question, un moment de pause, 330 pages (environ) de vacances !

L’avez-vous lu ? Voulez-vous le lire ? Qu’en avez-vous pensé ? Connaissez-vous l’autrice ?

Quatrième de couverture

Leena Cotton est épuisée. Ce n'est pas elle qui le pense, c'est son corps qui le lui dit. Pour la peine, son employeur lui impose deux mois de congés. Elle aurait encore préféré mourir de surmenage que d'ennui...

Eileen Cotton a pris une décision : puisque son époux de toute une vie l'a quittée du jour au lendemain, elle a désormais le droit de vivre pour elle-même.

Un problème ? Une solution ! La grand-mère et la petite-fille n'ont qu'à échanger leurs vies.

Mon avis

Burn out … on se dit que c’est pour les autres, parce que nous, on tient le coup, on fait face, on y arrive…. Jusqu’au jour où…

C’est ce qui tombe, d’un coup, sur les épaules de Leena. Un deuil l’a touchée, elle s’est mise en mode « carapace », se noyant dans le travail, mettant toute son énergie pour réussir, faire du bon boulot, s’oubliant par la même occasion. Et un jour, pendant une présentation, elle craque, elle est à bout…. Et c’est la catastrophe, le genre de situation qui fait tout rater, qui fait perdre un contrat…. Sa supérieure lui impose deux mois de vacances obligatoires.  Vacances ? Elle ne sait même plus ce que signifie ce mot tant cela fait longtemps qu’elle n’en a pas pris. Elle vit très mal l’idée de s’arrêter mais elle n’a pas le choix… Alors, peut-être quitter Londres et aller dans un petit village du Yorkshire où vivent sa mère (avec qui les relations sont tendues) et sa grand-mère ?

Justement, Eileen, sa mamie ne va pas bien. Son époux l’a abandonnée et elle se sent un peu perdue. Ce n’est pas l’homme en lui-même qui lui manque, mais l’idée d’un mari. Quelqu’un sur qui on peut compter, qui est là, qui accompagne le quotidien. Mais Eileen pense qu’il faut réagir, aller de l’avant et elle s’en donne les moyens. Elle est attachante cette vieille dame, qui remplit un « carnet à projets » avec des profils de voisins pour évaluer les possibilités de « et plus si affinité ». Elle m’a bien amusée.

L’aïeule et sa petite-fille ont toutes les deux besoin de se poser, de prendre du recul, de prendre soin d’elles, de mettre les choses à plat et de voir où tout cela les mènera. Alors une idée leur vient. Pendant ces soixante jours d’arrêt forcé pour l’une, elles vont échanger leur vie, leur logement etc. C’est un moyen comme un autre d’essayer d’y voir clair, de sortir de leur zone de confort, de prendre des risques, de découvrir un environnement totalement à l’opposé de leurs habitudes, en décalage avec ce qu’elles connaissent donc très déstabilisant. La grande ville où tout bouge et va trop vite pour la mamie, la bourgade avec ses « gens d’un âge », parfois un peu lents (parce qu’ils ont le temps ?), qui observent (surveillent ?), qui organisent des animations, etc où Leena va se retrouver à prendre en charge tout ce que faisait Eileen …. L’occasion, pour chacune, d’une remise en question et peut-être de « guérir »…

Ce récit est empli d’émotion, de délicatesse, de tendresse, de douceur, et il ne manque pas d’humour non plus … Quelques fois, on sent venir les choses, mais ça n’a aucune importance. L’essentiel est ailleurs, dans ces vies (et pas seulement celles des deux personnages principaux) qui décident de choisir, de ne plus se laisser manipuler, de vivre « ici et maintenant » chaque instant en conscience. Chacune (car il s’agit surtout de portraits de femmes) des protagonistes chemine à son rythme, vers la résilience si nécessaire, pour être en harmonie, en équilibre avec ses valeurs personnelles.

L’air de rien, sous des dehors « Feel Good », ce recueil aborde des thématiques intéressantes. Les réactions face au deuil, avec le chagrin qui fait fuir, qui coupe le dialogue, qui modifie les relations familiales… la pression au travail, avec le rendement obligatoire… les rapports entre voisins, dans les couples, les choix de vie qu’on subit en fonction du contexte et une fois qu’on est dedans ….

Les chapitres nous présentent, en alternance, les deux femmes avec des lieux, des personnes, des activités, à apprivoiser, à connaître … L’écriture (merci à la traductrice) est délicieuse, l’atmosphère, anglaise, avec les scones, le thé, est bienveillante.  J’ai vraiment beaucoup apprécié cette lecture qui sous une apparence légère, nous pousse à réfléchir sans pour autant tomber dans la prise de tête.

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