La toute petite reine
  • Date de parution 01/02/2023
  • Nombre de pages 448
  • Poids de l’article 242 gr
  • ISBN-13 9782290374641
  • Editeur J'AI LU
  • Format 178 x 112 mm
  • Edition Livre de poche
Romans Feel Good

La toute petite reine

4.16 / 5 (2684 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

Un matin, Adrien, maître-chien, est appelé pour un colis suspect en gare de Strasbourg. Bloom, son chien hyper-sensible, est le premier à sentir que les larmes de Capucine, venue récupérer sa valise oubliée, cachent en réalité une bombe prête à exploser dans son coeur. Hasard ou coup de pouce du destin, Adrien retrouve Capucine quelques jours plus tard dans la salle d'attente d'un couple de psychiatres. Dès lors, il n'aura de cesse de découvrir l'histoire que porte en elle la jeune femme.Dénouant les fils de leur existence, cette rencontre pourrait bien prendre une tournure inattendue et leur permettre de faire la paix avec leur passé afin d'imaginer à nouveau l'avenir.

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  • Date de parution 01/02/2023
  • Nombre de pages 448
  • Poids de l’article 242 gr
  • ISBN-13 9782290374641
  • Editeur J'AI LU
  • Format 178 x 112 mm
  • Edition Livre de poche

l’avis des lecteurs

Capucine va faire son miel

Agnès Ledig nous revient avec un nouveau roman, sombre et lumineux. Autour de la rencontre de deux âmes en peine, une orpheline et un ex-militaire essayant de soigner son traumatisme, elle va insuffler un chant d’amour et d’espoir.

Un psychiatre reçoit une jeune fille en consultation. Capucine a dû accepter ce rendez-vous pour être autorisée à quitter les urgences où elle avait été admise suite à un incident qui a mis ses nerfs à très rude épreuve. Elle avait oublié sa valise sur le quai de la gare de Strasbourg et a été accueillie par l’équipe d’intervention et de déminage lorsqu’elle s’est rendue compte de sa bévue.

Quand elle s’est effondrée en larmes, c’est Bloom, le chien d’Adrien, qui est venu la consoler. Le maître-chien a lui aussi été sensible à la détresse de la jeune fille, mais n’a pas osé venir intervenir personnellement pour la consoler.

Le psy reconnaît rapidement la fille de son ami et confrère Jean-Baptiste Claudel, un grand chirurgien décédé onze ans plus tôt dans un terrible accident de la route avec Rachel, sa compagne. Capucine et sa jeune sœur Adélie se sont retrouvées orphelines.

Leur oncle aurait alors pu être présent pour ses nièces, mais à l’époque il devait tenter de ne pas sombrer lui-même dans l’alcool qu’il consommait sans modération.

Adélie a choisi l’appartement de Strasbourg pour essayer de changer d’air, tandis que Capucine est restée dans la grande maison familiale d’Obernai. C’est autour de cette ville de la plaine d’Alsace qu’elle essaie de chasser ses idées noires en accumulant les kilomètres de course à pied.

En se rendant à son tour chez Diane, la psychiatre qui le suit depuis trois ans et son retour du Mali pour un syndrome post-traumatique, Adrien va recroiser Capucine. Car Diane partage son cabinet avec son mari Denis qui suit la jeune fille. Après la confession d’Adrien, Diane ira même jusqu’à proposer à son mari de bousculer l’agenda des séances afin d’organiser une rencontre fortuite entre leurs deux patients respectifs.

Il faudra encore quelques séances pour déboucher sur un premier vrai rendez-vous entre ces deux êtres en voie de reconstruction qui ont eu l’intuition qu’ils pourraient s’entraider, eux qui partagent déjà un deuil douloureux. Et puis, pour Capucine, c’est l’occasion de meubler le vide laissé par Adélie, partie avec son ami défendre la planète du côté de la Savoie. Une décision que sa sœur a de la peine à accepter, d’autant que sa cadette venait de réussir sa première année de médecine et avait un avenir tout tracé sur les pas de son père.

Tandis qu’Adrien essaie en savoir davantage sur le curieux comportement de son chef lors de l’intervention en gare de Strasbourg – il n’a pas jugé nécessaire de faire un rapport malgré le dispositif mis en place – et son rapport avec la famille Claudel, Capucine sent le besoin de s’éloigner des fantômes du passé.

Comme dans son précédent roman, Se le dire enfin, Agnès Ledig choisit de nouer son intrigue autour d’une rencontre inattendue, tout en suggérant que, bien plus que le hasard, les âmes meurtries développent une sensibilité particulière qui les poussent l’une vers l’autre. Sans se connaître, elles se reconnaissent. De sa plume toujours aussi limpide, elle nous livre au fil des pages, les biographies des personnages, leurs drames intimes et leurs espoirs, leur parcours sur la voie de la résilience aidés en cela par les valeurs transmises par les disparus. En passant, elle délivre aussi un plaidoyer pour les psys, qu’il ne faut pas hésiter à consulter et qui peuvent vraiment éclairer la voie vers une compréhension des traumatismes et partant, vers leur apaisement.

Mais ce qui donne tout son sel et son intérêt au roman, c’est la formidable énergie qu’il transmet au lecteur en soulignant combien le malheur et la peine, les épreuves aussi douloureuses soient-elles ne sont pas une fatalité. De livre en livre, Agnès Ledig creuse son sillon et touche ses lecteurs au cœur.

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