Série Trilogie Santiago Quiñones Boris Quercia

Les

Trilogie Santiago Quiñones Les rues de Santiago

Il fait froid, il est six heures du matin et Santiago n'a pas envie de tuer qui que ce soit. Le problème, c'est qu'il est flic. Il est sur le point d'arrêter une bande de délinquants, dangereux mais peu expérimentés, et les délinquants inexpérimentés font toujours n'importe quoi... Après avoir abattu un jeune homme de quinze ans lors d'une arrestation musclée, Santiago Quiñones, erre dans les rues de sa ville, Santiago du Chili, en traînant son dégoût. C'est ainsi qu'il croise le chemin de la belle Ema Marin, une courtière en assurances qui semble savoir beaucoup de choses sur son passé.Ça fait du bien de lire ça : court, net et sans bavure. C’est un petit bijou tout noir venu de l’autre bout du monde. Bernard Poirette, RTL.

Tant

Trilogie Santiago Quiñones Tant de chiens

Encore une mauvaise période pour Santiago Quiñones, flic à Santiago du Chili. Son partenaire Jiménez vient de mourir au cours d'une fusillade avec des narcotrafiquants. Pire, le défunt semble avoir été mêlé à des histoires sombres, et il avait les Affaires internes sur le dos. Par curiosité autant que par désœuvrement, Santiago commence à mener l'enquête, et retrouve une jeune femme qu'il connaît bien, Yesenia. Tous deux ont grandi dans le même quartier avant que leurs chemins se séparent. Entretemps, Yesenia a connu l'enfer : séquestrée et violée par son beau-père, elle ne vit plus que pour se venger. Au nom de leur amitié passée, elle va demander à Santiago d'abattre son bourreau...Après Les Rues de Santiago, Boris Quercia nous plonge une nouvelle fois dans un univers chilien ultra noir.  Santiago Quiñones est le prototype du flic déjanté et hyper attachant, avec qui le lecteur vibre et tremble à chaque page. Bernard Poirette, RTL. 

La

Trilogie Santiago Quiñones La légende de Santiago

Rien ne va plus pour Santiago Quiñones, flic à Santiago du Chili. Sa fiancée Marina ne l’aime plus, ses collègues policiers le méprisent, et il est rongé par la culpabilité depuis qu’il a aidé son beau-père, gravement malade, à mourir. Aussi, quand il tombe sur le cadavre d’un trafiquant dans un resto chinois, son premier réflexe est d’empocher la demi-livre de cocaïne pure qu’il trouve également sur les lieux. Un coup de pouce bienvenu pour traverser cette mauvaise passe, d’autant qu’on vient de lui confier une enquête sensible sur des meurtres racistes... Mais ce faux pas ne va pas tarder à le rattraper.Méfiez-vous de ce polar à l’écriture incisive, sensuelle, très moderne, qui n’est jamais où on l’attend. Augustin Trapenard, 21 cm.Les enquêtes de Santiago Quiñones racontées par l’excellent Boris Quercia, c’est du nanan ; point barre. Bernard Poirette, Europe 1.Traduit de l’espagnol (Chili) par Isabel Siklodi.