Série Interventions Michel Houellebecq

Interventions,

Interventions Tome 1 : Interventions

Résumé éditeur

Jacques Prévert, Philippe Muray, Lovecraft ; Neil Young, Sergueï Eisenstein, Pier Paolo Pasolini ; Donald Trump, Vincent Lambert, Lénine ; le sexe, la fête ou les beaufs... Autant de thèmes et de personnages qui traversent cet ensemble unique d'articles, de chroniques, d'entretiens et de préfaces, et qui permettront au lecteur de se familiariser avec la pensée de Michel Houellebecq - stimulante, inattendue, subversive parce que continûment singulière. Restait à ordonner ce prodigieux matériau : "J'ai essayé de classer ces “interventions” par ordre chronologique, dans la mesure où je me souvenais des dates. L'existence au moins apparente du temps a toujours été pour moi un grand motif d'agacement ; mais l'habitude a été prise de voir les choses en ces termes. Pour cette fois, donc, j'y consens.

Interventions,

Interventions Tome 2 : Traces

Résumé éditeur

« Les "réflexions théoriques" m'apparaissent comme un matériau romanesque aussi bon qu'un autre, et meilleur que beaucoup d'autres. Il en est de même des discussions, des entretiens, des débats... Il en est encore plus évidemment de même de la critique littéraire, artistique ou musicale. Tout devrait pouvoir se transformer en un livre unique, que l'on écrirait jusqu'aux approches de la mort ; cela me paraît une manière de vivre raisonnable, heureuse, et peut-être même envisageable en pratique. » M. H. Les textes de ce recueil, lettres, entretiens ou articles, ont été publiés depuis 1992 dans des publications diverses, de la NRF à Paris Match, 20 ans ou Les Inrockuptibles. Ils n'étaient plus disponibles. Il y est question de cinéma, d'architecture, de philosophie, de la fête, du féminisme, de la réhabilitation du beauf, de la connerie de Jacques Prévert ou encore de l'indigeste Alain Robbe-Grillet... Parcours éclaté qui dessine une réflexion d'une cohérence et d'une exigence aiguës. Le constat est implacable : « On s'est bien amusés, mais la fête est finie. La littérature, elle, continue. Elle traverse des périodes creuses, puis cela revient. »