Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast
  • Date de parution 28/03/2024
  • Nombre de pages 480
  • Poids de l’article 248 gr
  • ISBN-13 9782385770358
  • Editeur RECAMIER
  • Format 227 x 143 mm
  • Edition Grand format
Thriller

Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

4.09 / 5 (1439 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

Le nouveau roman très attendu de Karine Giebel.Monter au front sans arme ni gilet pare-balles. Soigner les autres au péril de sa vie. Se sentir utile en ce monde. De Sarajevo à Gaza, en passant par Grozny, la Colombie ou l'Afghanistan, Grégory se rend au chevet des sacrifiés sous l'égide de la Croix-Rouge internationale. Chaque victime sauvée est une victoire sur la folie des hommes. Chaque vie épargnée donne un sens à la sienne. Peu importe les cicatrices et les plaies invisibles que lui laisse chaque conflit. Poussé par l'adrénaline, par un courage hors du commun et par l'envie de sauver ceux que le monde oublie, Grégory prend de plus en plus de risques.Jusqu'au risque de trop. Jusqu'au drame... Ne pas flancher, ne pas s'effondrer. Ne pas perdre la raison.Choisir.Sauver cette jeune fille, condamner cet adolescent. Soigner ce quadragénaire, laisser mourir cet enfant.Choisir.Endurer les suppliques d'une mère, d'un père.Certains tombent à genoux devant lui, comme s'il était Dieu.Choisir.Tenter de sauver cette femme. Sacrifier sa petite fille qui n'a que peu de chances de survivre à ses blessures.Choisir.Et chaque fois, mourir un peu. Karine Giebel, indétrônable créatrice d'émotions fortes et authentiques, donne vie dans ce treizième roman à Grégory, héros des temps modernes. Tous deux nous forcent à garder les yeux grands ouverts sur que ce l'homme est capable de faire subir à ses semblables et interrogent l'humain qui est en nous, dans ce texte magistral qui embrasse la violence du monde. Karine Giebel est née en 1971. Elle est notamment l'auteure de: Meurtres pour rédemption (2006), Les Morsures de l'ombre (2007), prix Intramuros du festival de Cognac et prix SNCF du polar, Jusqu'à ce que la mort nous unisse (2009), prix des Lecteurs à Cognac et adapté sur France Télévisions, Juste une ombre (2012), prix Polar francophone du festival de Cognac et Prix marseillais du polar, Purgatoire des innocents (2013), prix des lecteurs du Var, Satan était un ange (2014) et De force (2016). Toutes blessent, la dernière tue (2018) a été récompensé par le prix de l'Évêché, le prix Plume d'or du thriller francophone, le prix Évasion et le Book d'or thriller du prix Bookenstock. Son dernier roman, Glen Affric (2021), s'inscrit lui aussi dans la liste de ses succès. Les livres de Karine Giebel se sont vendus à plus de deux millions d'exemplaires à ce jour et sont traduits dans une douzaine de langues.

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  • Date de parution 28/03/2024
  • Nombre de pages 480
  • Poids de l’article 248 gr
  • ISBN-13 9782385770358
  • Editeur RECAMIER
  • Format 227 x 143 mm
  • Edition Grand format

l’avis des lecteurs

💥Le précédent roman de Karine Giebel, Glen Affric, avait été un immense coup de cœur ! J’étais donc très impatiente de plonger dans son nouveau livre !

J’aime son style d’écriture, son univers sombre et sans compromis qui expose la noirceur et la complexité de notre monde.

Sa plume est sans merci, et une fois de plus, l’histoire que l’autrice nous offre, est poignante et implacable.

💥Cette fois-ci, l’histoire immerge le lecteur dans la réalité d’un infirmier du CICR, le Comité international de la Croix-Rouge.

Grégory exerce son métier dans les zones de conflit à travers le monde.

💥Gregory est marié et père d’une petite fille, mais il doit souvent quitter son foyer pour se rendre dans des endroits dangereux et soigner les victimes de conflits armés.

Même s’il n’y est pas obligé, il ne peut s’empêcher de rechercher l’excitation de ces missions et son besoin viscéral de prendre des risques.

💥Grégory explore des régions déchirées par les guerres, mettant en lumière les côtés les plus sombres de l’humanité.

Cette plongée dans le monde de l’humanitaire est marquée par une succession de crises, de violences et de tragédies, mais aussi par des actes de sauvetage.

En tant qu’infirmier du CICR, il s’engage à cœur perdu auprès des victimes qu’il rencontre, mais jusqu’où peut-il aller sans compromettre sa propre intégrité ?

💥C’est une histoire qui met l’accent sur la psychologie, explorant les aspects complexes de la guerre et saluant les héros anonymes qui se dévouent entièrement pour soulager les souffrances les plus intolérables.

🔺La suite de la chronique en commentaire

Lorsque le nouveau Karine Giebel apparaît sur les rayons des libraires, il m'arrive un phénomène étrange. Je suis à la fois attirée comme jamais par ce nouveau titre et j'éprouve en même temps une certaine appréhension qui frise la répulsion. Il faut dire que l'autrice m'a habituée à souffrir en lisant ses romans. Toujours les thèmes sont forts et puissants, ils viennent toucher le point sensible en chacun d'entre nous, pile poil là où ça fait mal. Alors pourquoi dois-je m'infliger cela ? Qu'est-ce qui fait que je ne peux résister à cette lecture ? Sûrement cette universalité, cet éclairage sans concessions des zones les plus sombres de l'humanité. Croyez- moi, une fois encore je me suis laissé captiver par son nouveau scénario. Parce que même si suivre le parcours accidenté de Grégory, un infirmier humanitaire a été une lente traversée de l'horreur, j'en ressors grandie. Chaque destination, chaque guerre ou conflit dispersé aux quatre coins du monde nous percute de plein fouet. Les lieux choisis font froid dans le dos : Sarajevo, Kigali, Srebrenica, Monrovia, Gaza, Kandahar... Karine à l'art et la manière de mettre un embrasement général sous la loupe, un focus sur deux ou trois personnages marquants qui viennent s'inscrire à jamais dans le cerveau de notre « héros ». Les plus vulnérables sont souvent les femmes et les enfants, les vieillards aussi peu importe où nous nous trouvons sur la planète, il y a toujours une zone de guerre. Et même quand le conflit est terminé, il reste encore les mines antipersonnel pour semer la mort et le malheur. Parallèlement à la grande Histoire, il y a la vie privée de note humanitaire qui n'est pas dénuée de souffrance et ressemble parfois à un chemin de croix. Vous l’aurez compris un livre pas facile mais tellement enrichissant, émouvant qu'on ne risque pas d'oublier. J'ai beaucoup aimé la rencontre avec Denis Mukwege qui apporte beaucoup d'espoir. Je ne peux que le recommander aux plus forts d'entre nous, il ne nous reste qu'à patienter pour découvrir la suite dans le Livre 2 cet automne. Bonne lecture.

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