Série Les Voyageurs (Becky Chambers) Becky Chambers

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Les Voyageurs (Becky Chambers) Tome 1 : L'espace d'un an

Rosemary, jeune humaine inexpérimentée, fuit sa famille de richissimes escrocs. Elle est engagée comme greffière à bord du Voyageur, un vaisseau qui creuse des tunnels dans l’espace. Elle y apprend à vivre et à travailler avec des représentants de différentes espèces de la galaxie : des reptiles, des amphibiens et, plus étranges encore, d’autres humains. La pilote, couverte d’écailles et de plumes multicolores, a choisi de se couper de ses semblables ; le médecin et cuistot occupe ses six mains à réconforter les gens pour oublier la tragédie qui a condamné son espèce à mort ; le capitaine humain, pacifiste, aime une alien dont le vaisseau approvisionne les militaires en zone de combat ; l’IA du bord hésite à se transférer dans un corps de chair et de sang...L’un de ces beaux romans de SF que l’on referme en ayant une foi renouvelée dans les capacités de l’humanité. ActuSF.Prix Hugo de la meilleure série littéraire. Prix Julia Verlanger.Traduit de l’anglais par Marie Surgers.

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Les Voyageurs (Becky Chambers) Tome 2 : Libration

Lovelace, intelligence artificielle née à bord du Voyageur à la fin de L’Espace d’un an, accepte de se transférer à bord d’un corps synthétique. Devenir humaine, une chance ? Pas pour elle : les limitations de la chair l’étouffent. Champ de vision ridiculement restreint, pas d’accès au réseau, réactions physiologiques incontrôlables...À ses côtés, Poivre, mécano, l’aide de son mieux. Ancienne enfant esclave libérée par miracle, grandie seule sur une planète ravagée, elle aussi a dû lutter pour accéder pleinement à l’humanité et se construire une vie, sinon ordinaire, du moins normale.Libration – nom d’un point de l’espace en équilibre entre deux astres, zone de stabilité mouvante qui accompagne les planètes dans leur danse – raconte l’histoire de ces deux femmes. Chacune à sa façon s’arrache à une vie liminale pour se tailler une identité, conquérir l’indispensable : la dignité.PRIX HUGO DE LA MEILLEURE SERIE LITTERAIRE 2019. PRIX JULIA-VERLANGER 2017.Traduit de l’anglais par Marie Surgers.

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Les Voyageurs (Becky Chambers) Tome 3 : Archives de l'exode

Résumé éditeur

Troisième volume des « Voyageurs », série lauréate du prestigieux prix Hugo, Archives de l'exode confirme Becky Chambers à l'avant-garde d'un renouveau de la science-fiction, intimiste et pleine d'espoir. La Flotte d'exode est un trésor vieillissant, témoin de la volonté humaine de disséminer ses enfants et sa culture à travers les étoiles. Singulière au sein de la communauté galactique, peu la rejoignent et beaucoup la quittent. Dans les couloirs de ces vaisseaux naissent, viventet meurent les spatiaux. Une ethnologue à tentacules, un homme rêvant d'intégrer la Flotte, un adolescent de s'en aller, une archiviste qui a connu l'époque où les Humains étaient des parias, une soignante affectée aux soins des morts, et Tessa, sœur d'Ashby, le capitaine humaniste de L'Espace d'un an.Autant de voix qui, humaines ou non, nous racontent le sentiment d'appartenance à un groupe, le besoin central de trouver une place, dans la galaxie ou dans les cœurs. Des gens ordinaires ; des vies ordinaires : uniques et précieuses. Traduit de l'anglais par Marie Surgers « Un space opera intimiste, tout en humanisme et en empathie. Il n'est pas nécessaire d'avoir lu les précédents pour apprécier ce roman, mais on aurait bien tort de s'en priver. » Bifrost

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Les Voyageurs (Becky Chambers) Tome 4 : La galaxie vue du sol

Bienvenue à Gora ! Bienvenue à l’Auberge des Cinq-Sauts ! Faites halte dans le tout dernier roman des « Voyageurs »et l’Union Galactique explorée dans L’Espace d’un an. « On s’était donné du mal pour aménager cette auberge, quitte à remplacer par l’amour l’argent qui manquait parfois. Le dôme abritait une série de bâtiments sortis d’une imprimante 3D, tous en forme de bulles mais de tailles variées, peints en gris et blanc ; une palette évidemment choisie pour ménager la sensibilité aéluonne, qui aurait perçu comme des beuglements une architecture multicolore. Les sentiers, pavés à la main, convenaient aux chariots harmagiens. L’air purifié était chaud, sans doute trop pour les poils épais des Laru, mais très confortable pour lui : un compromis bien pensé entre la préférence quéline pour une délicieuse touffeur et le penchant aandrisk pour la chaleur sèche. Ce n’était pas parfait, mais ça conviendrait à beaucoup de monde. Roveg aurait parié que c’était la règle qui présidait toutes les décisions. » Traduit de l’anglais par Marie Surgers.