Série Les Furies (Nicolas Lebel) Nicolas Lebel

Le

Les Furies (Nicolas Lebel) Le Gibier : Une meute ne lâche jamais sa proie

La journée du commissaire Paul Starski commence assez mal : une prise d’otages l’attend dans un appartement parisien. Arrivé sur place avec sa coéquipière, la glaciale et pragmatique Yvonne Chen, il découvre les corps d’un flic à la dérive et d’un homme d’affaires sud-africain. Tous les indices accusent Chloé de Talense, une brillante biologiste. Et amour de jeunesse de Starski, qui prend l’enquête à bras le corps – et certainement trop à cœur –, tandis que les meurtres se multiplient. Car l’étau se resserre autour de Chloé. Elle semble être le gibier d’une chasse à courre sanglante lancée à travers la capitale.Un polar habilement ficelé, qui nous replonge dans les années sombres de l’Afrique du Sud et nous tient en haleine jusqu’au bout. Alexandra Schwartzbrod, Libération.Effets de style, gags, rire, action, politique et Histoire : ce roman policier est une réussite carabinée. Hubert Artus, Le Parisien week-end.

La

Les Furies (Nicolas Lebel) La Capture : Qui sème les coups récolte la vengeance

Morguélen. Un nom funèbre pour une île bretonne giflée par les vents. Un terrain idéal pour la lieutenante Chen, lancée dans une traque sans merci. Dans son viseur : des tueurs à gages insaisissables, les Furies, déesses du châtiment. Mais à l’heure de la rencontre, la partie pourrait bien compter plus de joueurs qu’il n’y paraît. Et quand le prêtre de cette île du bout du monde entre à son tour dans la danse, une seule certitude demeure : quelqu’un va mourir.Du suspense, de l’humour, de l’action, La Capture contient tout cela. Nicolas Lebel s’installe durablement à la table des grands du thriller français. Bruno Corty, Le Figaro littéraire.L’auteur bouscule les codes du polar pour en faire une « littérature de l’indignation ». Sophie Berthier, Télérama.Une intrigue diabolique. Sandrine Bajos, Le Parisien.Réjouissant. Lionel Germain, Sud Ouest.

L'Hallali

Les Furies (Nicolas Lebel) L'Hallali : A jouer double, on perd de vue sa cible

À jouer double, on perd de vue sa cibleYvonne Chen n’a pas d’amis et elle n’en veut pas :  ils l’ennuient ou finissent par mourir. Lorsque, en ce 5 janvier, son téléphone sonne, elle sait donc que ce n’est pas un ami qui l’appelle.Les Furies, ces tueurs à gages sans foi ni loi, sont de  retour et leur chef Alecto propose à Chen de participer  à l’une de leurs danses. Deux frères se disputent lecontrôle d’un prestigieux vignoble dans les Vosges et,  d’après le commanditaire anonyme, il ne doit en rester  qu’un.Chen, l’ex-flic de la Crim, aujourd’hui agent infiltré de la DGSI, accepte la mission : l’occasion rêvée pour elle de piéger enfin ces assassins. Lancée dans un jeu  de faux-semblants au coeur d’un hiver glacial, Yvonne  va devoir décider de quoi elle est l’instrument. La  justice ou bien le châtiment ?Tout bascule quand les fantômes du domaine s’en  mêlent. Eux aussi réclament vengeance.Un nouveau polar renversant porté par l’humour et  le talent d’illusionniste de Nicolas Lebel, où chaque  hypothèse du lecteur se voit pulvérisée page après  page jusqu’à la révélation finale.« Un troisième volume d’une série saupoudrée d’humour qui doit autant au polar qu’au roman d’espionnage. En cela, L'Hallali est un vrai festival. » Le Parisien Week-End  « Nicolas Lebel joue à nouveau les illusionnistes en prenant un malin plaisir à déboulonner les intuitions du lecteur et infirmer ses hypothèses jusqu’à là révélation finale. Efficace ! » Les Echos« On savoure ce nouveau cocktail de polar et d’espionnage, servi frappé d’humour et saupoudré d’action, sans avoir goûté aux deux précédents épisodes de cette série. Mais ceux qui avaient déjà mordu à l’appât ne seront pas déçus. Nicolas Lebel prend du plaisir à nous balader, avec un art consommé de la manipulation. Sa plume, maligne et imagée, profite de son imaginative intrigue pour épingler les luttes de pouvoir politiques et le poison de l’ambition personnelle, sans se priver d’évoquer l’ « indigne exploitation» de travailleurs saisonniers étrangers. Néanmoins, son jeu du « qui piège qui? » garantit avant tout une lecture hardiment récréative. » Télérama